La réflexologie, qu’elle soit plantaire, palmaire, faciale ou auriculaire
procure une détente profonde
et possède un aspect réparateur
et préventif. Elle s’adapte aux besoins de chacun.
Elle permet une approche différente et complémentaire de la médecine allopathique.
La réflexologie
vise à mobiliser les processus d'auto-guérison du corps.
Elle se pratique en exerçant une pression soutenue, avec le bout des doigts, sur des zones ou des points réflexes
situés sur les pieds, les mains, la face
et les oreilles.
Ces points correspondent à des organes
ou à des fonctions organiques.
La réflexologie
n’est pas une technique de massage, même si elle peut y ressembler à première vue.
Elle serait davantage apparentée au shiatsu.
La réflexologie ne prétend pas guérir des maux spécifiques.
Elle cherche plutôt à apporter un certain soulagement à toutes sortes d’affections
: maux de tête ou de dos, syndrome prémenstruel, stress, troubles respiratoires, etc.
Le mécanisme d’action
précis de la réflexologie
est encore mal connu.
Il y a à ce jour peu ou pas d’explication à la topographie des zones réflexes
et au mode d’action
de la réflexologie.
Cependant, la notion de stimulation à distance
est connue depuis fort longtemps.
Lorsque l’on touche la peau,
les informations
reçues par celle-ci, passent d’abord par les nerfs de la colonne vertébrale
pour atteindre ensuite différentes zones du cerveau
et délivrer des informations. Celui-ci répond en renvoyant, toujours par la colonne vertébrale, des influx nerveux
vers les organes, les vaisseaux sanguins, les muscles, etc.
La réflexologie
s’appuie également sur les principes de la Médecine Traditionnelle Chinoise.
C’est pourquoi son action vise à restaurer la bonne circulation de l’énergie vitale, le Qi, dans le corps.
Les zones réflexes
ne se retrouvent pas exactement aux mêmes endroits sur les différentes chartes de réflexologie.
Cela s’explique par deux facteurs.
1. D’abord, la réflexologie
est une approche encore empirique et expérimentale, l’identification de l’emplacement des points peut varier légèrement en fonction des recherches et de la pratique clinique.
2. Ensuite, les points
sur les chartes sont des points à rechercher.
Leur emplacement diffère un peu, selon la morphologie des individus.
Ce qui ne représente bien sûr pas un problème pour le praticien expérimenté.